La Revue de presse

Sa Luminescence ayant soumis l'idée d'une revue de presse, je commence par un article de Dominique A sur les Triffids (source : TGV magazine).


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Excellent Dominique A !

comme quoi,il a plusieurs cordes à son arc .. il aurait pu faire un très bon rock critique aussi.

J'ai calenture des triffids et je trouve ça très très bien !
faudrait que je pense à écouter les autres.

le retour des tennis à scratch

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Aaah...je perds la vue...

Dans Spiegel Online, j'ai trouvé cette belle collection de mugshots. Regardez là!

Miss Marple a écrit:

le retour des tennis à scratch

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

ça me rappelle morrissey live à canal, tiens

Entendu à la radio : la ville de Gand interdit la viande (consommation ? Vente ?) le jeudi

et ce n'est pas un poisson d'avril

Selon Associated Press :

"Les habitants de Gand sont appelés à manger vert par la municipalité, qui a décidé de faire du jeudi une journée végétarienne. Des informations vont être prodiguées aux gens pour les convaincre de limiter leur consommation de viande, source de pollution significative pour les autorités de la ville.

Tom Balthazar, un conseiller municipal de Gand, estime que s'abstenir de manger de la viande une fois par semaine est "bon pour le climat" et la "santé". D'après lui, la production de viande est responsable de 18% des gaz à effet de serre.

La ville de Gand, située à 50km à l'ouest de Bruxelles, a donné le coup d'envoi de l'opération mercredi pour célébrer la première journée végétarienne.

Elle a dispensé des recettes, fourni une liste de restaurants végétariens, et organiser des manifestations sur les façons de préparer un menu vert. Les restaurants municipaux limiteront les plats comprenant de la viande dans une section spéciale de leur menu tous les jeudis."

et la journée sans bière à Gand c'est quand?

et si nous faisions une journée sans gand?

Tu oublis un L là...

ah ah

El Wray a écrit:

Tu oublis un L là...

quand je pense que LP ne veut plus venir passqu'il peut plus faire le con...

Pourtant...

Les refus de Thuram


Adrien Zeller avait invité l'ex-footballeur Lilian Thuram, 142 sélections en équipe de France, membre du Haut-Conseil à l'intégration, connu pour ses engagements contre le racisme, à venir témoigner face à des lycéens, pour la clôture du Mois de l'Autre.

Thuram a répondu avec un tarif : 20 000 € pour une intervention d'une heure et demie.

La Région a fait une nouvelle tentative en expliquant le sens de la démarche qu'elle mène auprès des jeunes, avec le rectorat, en faveur de la tolérance ; elle ne pouvait lui proposer que 1 500 €, tous frais payés.

Nouveau refus de Thuram.

« On ne vit hélas pas dans le même monde », lui a alors écrit Adrien Zeller en faisant référence à celui du foot pourri par l'argent

Tu es jaloux car il a gagné la coupe du monde.

Et la coupe d'europe.

Capitano Due Punto a écrit:

Les refus de Thuram


Adrien Zeller avait invité l'ex-footballeur Lilian Thuram, 142 sélections en équipe de France, membre du Haut-Conseil à l'intégration, connu pour ses engagements contre le racisme, à venir témoigner face à des lycéens, pour la clôture du Mois de l'Autre.

Thuram a répondu avec un tarif : 20 000 € pour une intervention d'une heure et demie.

La Région a fait une nouvelle tentative en expliquant le sens de la démarche qu'elle mène auprès des jeunes, avec le rectorat, en faveur de la tolérance ; elle ne pouvait lui proposer que 1 500 €, tous frais payés.

Nouveau refus de Thuram.

« On ne vit hélas pas dans le même monde », lui a alors écrit Adrien Zeller en faisant référence à celui du foot pourri par l'argent

ce doit-être un pote à Michael Moore

LVMH bientôt allié de Bono dans la mode

Le groupe de luxe français va prendre une participation de presque 50 % dans la société Edun, une société du chanteur de U2 et de sa femme.

Le groupe de luxe français LVMH (propriétaire des Echos) va prendre une participation de presque 50 % dans Edun, une société de vêtements socialement et écologiquement corrects soutenue par le chanteur de U2 Bono, et sa femme. Bernard Arnault, le patron de LVMH, a confirmé pendant l'AG du groupe ce matin qu'il y avait bien un accord avec Edun. L'information avait été révélée par le "Wall Street Journal".

LVMH restera actionnaire minoritaire mais participera au management.

Edun a été fondée en 2005. Elle s'est spécialisée dans les vêtements de coton bio produits dans des pays émergents comme l'Inde et le Pérou. Elle soutient les entrepreneurs locaux qui veulent développer leurs affaires. Dans le giron de LVMH, Edun profitera de la force de frappe marketing du groupe français.
Les Echos


Pour info, LVMH c'est : Givenchy, parfums Dior, kenzo, berlutti, tag Heuer, Vuitton, Le Bon marché, Céline, Chaumet....

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

MDR

Platini : « Les salaires des joueurs ne me choquent pas »


Le président de l'UEFA ne s'inquiète pas du trop-plein d'argent dans le football, mais des investissements spéculatifs.
La planète football peut-elle imploser du fait de la crise ?

Oui, c'est un risque. La situation financière de nombreux clubs espagnols et britanniques notamment est alarmante. Pour le moment cependant, je dirais que l'impact de la crise économique sur le football européen reste limité. Et, de manière générale, je pense que les grands clubs souffriront moins que les petits et le monde amateur.
Vous affirmez souvent que l'argent a pris une place trop grande dans le football européen. Le pensez-vous toujours ?

C'est possible. Mais je n'ai jamais voulu empêcher qu'il y ait de l'argent dans le football. Je reconnais que la qualité du football n'a jamais été aussi bonne qu'aujourd'hui. Je considère simplement que les clubs ne doivent pas dépenser plus d'argent qu'ils n'en ont. Il n'est pas normal que certains clubs accumulent les déficits sans sanction.
Vous êtes donc opposé à la présence d'investisseurs privés qui placent à fonds perdus ?

Je crois qu'il faut faire un distinguo entre ceux qui achètent des clubs par passion et ceux qui le font par simple intérêt financier. De ce point de vue, peut-être que Roman Abramovitch, le propriétaire de Chelsea, aime davantage le football que d'autres détenteurs de club. La démarche du premier s'apparente à celle qu'ont effectuée dans les années 1970 ou 1980 les Agnelli avec la Juventus de Turin ou Silvio Berlusconi avec le Milan AC.
Pourtant, Manchester United, qui a fait l'objet d'un LBO, est géré avec beaucoup plus de rigueur que Chelsea...

Le football est un jeu. Il ne faut pas que des gens y investissent pour faire des plus-values. C'est une question de morale. Ce qui me gêne, ce sont les investisseurs qui rachètent les équipes par la dette, en ponctionnant ensuite les recettes du club. Je constate que Manchester United a gagné deux championnats d'Angleterre consécutifs, qu'ils sont en finale de la Champions League pour la deuxième fois en deux ans et que les comptes sont à peine équilibrés ! Je m'inquiète aussi des investissements étrangers, car, de tout temps, le football a été fondé sur l'identité des clubs.
Que suggérez-vous pour éviter les excès financiers des clubs ?

L'UEFA veut instaurer l'idée du fair-play financier. Le principe de base est de ne pas dépenser plus que ce que l'on a en caisse. Il n'y a pas aujourd'hui de règles communes. Nous allons donc créer une commission d'experts indépendants qui aura pour mission de mettre sur pied une instance européenne de contrôle. Le tout dans le cadre du volet financier de la licence européenne qui permet aux clubs de participer aux compétitions de l'UEFA. Ce contrôle a été initialement délégué aux associations nationales. Nous allons revenir là-dessus.
Pensez-vous que cette initiative ait des chances de succès ?

Cela prendra du temps, c'est sûr. Mais des fédérations comme l'Allemagne et la France, qui ont mis en oeuvre un contrôle rigoureux de la gestion de leurs clubs, nous soutiennent. Elles en ont marre de ne plus rien gagner. En fait, le vrai débat est peut-être de savoir qui aura le dernier mot au sein des clubs entre le propriétaire, contraint de payer à fonds perdus, et les dirigeants opérationnels, qui veulent que rien ne change. De ce point de vue, la crise actuelle peut nous aider. Car les propriétaires nous demandent de faire quelque chose. Je suis, par ailleurs, pour la centralisation des droits TV dans les différents championnats. La vente individuelle, club par club, telle qu'elle existe en Espagne, favorise quelques-uns et paupérise les autres.
Ne serait-il pas plus simple de mettre en place un plafond de salaires (« salary cap ») ?

Je suis favorable à une limitation de la masse salariale en proportion du budget. Je suis contre un « salary cap » individuel. Mais, pour rétablir un semblant d'équilibre footbalistique, la vraie réforme serait de limiter le nombre de contrats professionnels dans chaque club. La FIFPro (le syndicat international des joueurs, NDLR) est d'accord. Sur une saison, il est difficile de rivaliser avec une équipe qui dispose de deux équipes types composées d'internationaux.
Les salaires perçus par les joueurs aujourd'hui sont souvent jugés excessifs. Qu'en pensez-vous ?

Les salaires des joueurs ne me choquent pas. Vous savez dans le football, seuls quelques joueurs sont capables de vraiment faire la différence. Il est donc normal qu'ils soient bien payés. Il faut simplement que les salaires soient en proportion avec ce que le club peut verser. Il y a aujourd'hui beaucoup d'argent dans le football, il est normal que les joueurs en bénéficient aussi.
Est-il normal que des footballeurs soient mieux payés que des dirigeants d'entreprise ?

Je ne souhaite pas entrer dans ce débat. Je dis simplement qu'il peut paraître choquant que des patrons perçoivent des bonus alors même que les résultats de leur entreprise sont mauvais.
Etes-vous d'accord pour que les clubs puissent être considérés comme des entreprises ?

Oui, dans la mesure où un club doit générer ses propres ressources.
Avec pour la saison 2007-2008 un chiffre d'affaires de 1,9 milliard d'euros pour un bénéfice de 236 millions, l'UEFA est devenu un acteur majeur du « sport business »...

On peut le dire comme ça, mais notre mission est avant tout de protéger le jeu. De faire en sorte que le football reste pratiqué par le plus grand nombre. Alors, c'est vrai, que nous faisons fructifier cette mission. Mais nous ne gardons rien pour nous. L'essentiel est redistribué aux fédérations des pays membres de l'UEFA, qui en ont bien besoin. Il n'y a plus beaucoup d'Etats qui donnent de l'argent à leur fédération.
La crise a-t-elle un impact sur l'UEFA ?

Directement, non. Nous avons une gestion très conservatrice de notre argent. Les 450 millions d'euros placés pour financer les programmes Europool 2012 par exemple sont investis sans risques. Pour nous, la manifestation la plus concrète de la crise concerne l'organisation de l'Euro 2012, dont les recettes ne seront pas aussi bonnes que celles de l'édition 2008.
Le principe de la coorganisation de l'Euro 2012 par l'Ukraine et la Pologne est-il remis en cause ?

La situation économique de l'Ukraine est un sujet de préoccupation. Car la Pologne a été plus aidée que l'Ukraine, notamment par l'Union européenne. Or les projets d'infrastructures qui doivent y être construits dans le cadre de cette manifestation n'ont toujours pas vu le jour. Nous avons donc allégé le programme prévu en Ukraine.
Etait-il sage de confier l'organisation à des pays dans lesquels les infrastructures restaient à construire ?

Depuis le premier jour, cette décision est politique. Je crois effectivement qu'il faut modifier le processus d'attribution pour l'avenir. On doit désormais présélectionner les candidats qui sont réellement capables d'organiser un tel événement. A cet égard, la candidature française pour l'Euro 2016 est significative. Je n'entends pas beaucoup parler d'investissement des collectivités. Les villes veulent rester propriétaires des stades, mais ne veulent pas investir. Il serait préférable qu'elles les donnent aux clubs.
Le football pâtit d'une mauvaise image. Est-ce injustifié selon vous ?

C'est un fait en tout cas. Cependant il ne faut pas oublier que le football compte 250 millions de licenciés à travers le monde dont 1 million de femmes. C'est donc un miroir de la société et de ses défauts comme la corruption ou le racisme par exemple. Notre mission est de prendre les mesures nécessaires pour chasser ce type de comportement des stades. Pour le racisme ou la violence, nous appliquons la tolérance zéro. Ce qui nous a déjà conduits à sanctionner des clubs comme l'Atletico Madrid ou le Feyenoord Rotterdam. Personnellement, je suis favorable à une suspension du jeu pendant dix minutes en cas de manifestations racistes. Nous sommes aussi très vigilants sur la surveillance des paris sportifs. Nous avons demandé à chaque fédération de mettre en place une cellule de contrôle. Il n'est pas question que nous organisions nous-mêmes des paris. On ne peut être juge et partie. Mais nous réfléchissons à l'idée d'agréer certains opérateurs.
Ne pourriez-vous pas faire davantage pour protéger les enfants notamment contre l'appétit des grands clubs ?

Les statuts de la Fifa prévoient qu'il ne doit pas y avoir de transfert des jeunes de moins de 18 ans. Mais cette disposition est contournée. Lors du dernier championnat d'Europe des moins de 17 ans, il y avait 3.200 « scouts » (détecteurs de jeunes talents, NDLR) accrédités ! Nous demandons que les droits de l'enfant soient respectés jusqu'à 18 ans. Car, pour un Messi à Barcelone, il y a 1.000 jeunes talents qui finissent pizzaiolo. C'est la seule façon pour que le système des « home grown players » (les joueurs formés localement, NDLR) accepté par la Commission européenne dans la proportion de 8 sur 25 par club soit efficace.
Avez-vous été déçu par la présidence française de l'Union européenne ?

Non. Une résolution a été adoptée sur la spécificité sportive. Il faut que Bruxelles respecte le modèle sportif et son organisation pyramidale. En contrepartie, le mouvement sportif doit respecter les spécificités de l'Union européenne.
Vous êtes à la tête de l'UEFA depuis plus de deux ans, envisagez-vous de postuler pour un nouveau mandat de quatre ans ?

Je ne me fixe pas de limite. Dans ma vie jusqu'ici, les choses se sont enchaînées sans planification. En quatre mois, j'avais mis en oeuvre l'essentiel de mon programme. Depuis, je découvre tous les jours de nouveaux sujets à traiter. Le football est une histoire sans fin et doit le rester. C'est pourquoi je suis très conservateur sur les valeurs qui ont fait le succès de ce sport. Aujourd'hui, tout le monde est professionnel dans l'univers du foot, il faut donc quelqu'un pour préserver l'esprit du jeu.
Avez-vous un favori pour la finale de la Ligue des champions qui opposera mercredi soir Manchester United au FC Barcelone ?

Non. Ce que j'aime c'est le foot, quelle que soit la manière dont il est pratiqué, spectaculaire ou plus tactique.
Un pronostic, alors...

Vous êtes mal tombé. Je suis un très mauvais pronostiqueur. Lorsque je suis arrivé à l'UEFA, j'ai mis en place un concours de pronostic ici à Nyon pour les salariés. Actuellement, j'occupe la 102e place sur 250 !
PROPOS RECUEILLIS PAR PHILIPPE BERTRAND ET FRANÇOIS VIDAL, Les Echos

Source : Les Echos

Le ventre de Platini n'est pas choquant non plus

ben pourquoi i serait plus choquant que celui de (zut, le nom m'échappe)

il est pire, pour un footeux c'est pas fort