Romans, essais...

Toi, tu es allé du côté Châtelet / Halles.....

On peut même pas être tranquille...

et tu ne veux pas dire à nous qu'est-ce que c'est que tu lis en ce moment?

Je commence "Le cantique de l'apocalypse joyeuse" de Arto Paasilinna (écrivain finlandais assez connu). Le résumé m'avais donné envie :
"Planète Terre, XXIe siècle. La fin du monde approche, le chaos est partout. Alors que l'économie s'effondre, le pétrole vient à manquer, les communications sont coupées, les villes croulent sous les déchets et la famine s'étend, aggravée par l'explosion d'une centrale nucléaire russe. Des hordes de miséreux sillonnent les continents. La troisième guerre mondiale est sur le point d'éclater... Pourtant, quelque part au fin fond des forêts du Kainuu, dans l'Est de la Finlande, un étrange havre de paix et de prospérité demeure. C'est là que, quelques années plus tôt, au seuil de la mort, un vieux communiste militant, grand bouffeur de curés, a chargé son petit-fils Eemeli Toropainen de construire sur ses terres, pour le rachat de son âme, une église en bois copiée sur un modèle du XVIIIe siècle. Autour d'elle, une communauté de joyeux et délirants Finlandais s'est peu à peu formée : ensemble ils revisitent les techniques de subsistance de leurs ancêtres et la vie en autarcie, loin d'un monde en déconfiture. Avec l'humour qu'on lui connaît, Arto Paasilinna plaide pour un certain retour au bon sens paysan, à une vie plus simple et plus proche de la nature, loin des diktats de la société de consommation."
Arto Paasilinna est aussi l'auteur entre-autre de "Petits meurtres entre amis".

Kundera, Une Rencontre... Toujours aussi...

Les disparus de Daniel Mendelsohn

L'auteur cherche à savoir comment 6 membres de sa famille ont disparu dans une petite ville de Pologne en 40.
On suit le détails de son enquête, le retour en Pologne, les rencontres avec des témoins éparpillés, les non-dits du reste de la famille qui avait émigré aux USA. C'est passionnant.

Selby, "Last exit to Brooklyn"... Un peu ma vision de Brooklyn avec El Wray

Ah oui, faudrait que j'y jette un oeil alors ? Ceci dit, on aurait du traîner encore plus à Brooklyn, je pense...

Sinon, vu hier après-midi : Extraordinary Records

http://www.taschen.com/pages/en/catalogue/popculture/all/05064/facts.extraordinary_records.htm

en cherchant la session de Sophia pour Moxy, j'ai vu ça :

Jean-Eric Perrin
J'ai encore esquinté mon vernis en passant un ré sur ma Gibson...

Et si le rock’n’roll, et ses variantes, étaient quelque chose de trop sérieux pour n’être confié qu’à des garçons ?
Jean-Eric Perrin, en trente ans de carrière comme rock critic, puis rédacteur en chef de magazines spécialisés, a souvent défendu cet adage et s’est fait la réputation d’être le confident favori des chanteuses, rockeuses, et autres rappeuses... Toutes les filles qui chantent les musiques électriques, voire les jouent sur des guitares.
Revenant sur les interviews qu’il a réalisées au fil des ans pour Rock & Folk, Best, Max, RER, Rolling Stone etc., il dresse une galerie de portraits et d’anecdotes sur ces moments particuliers où il s’est retrouvé, souvent dans une chambre, en tête à tête avec Madonna, Françoise Hardy, Jane Birkin, Mariah Carey, Marianne Faithfull, Deborah Harry, Annie Lenox... Et puis Chrissie Hynde, Vanessa Paradis, Missy Elliott, Mary J Blige, Jennifer Lopez... Et encore Kim Wilde, Naomi Campbell (qui a chanté aussi, brièvement), Sharleen Spiteri, Kelis, Siouxsie Sioux... Puisant dans ses souvenirs, et fouillant dans ses archives, il raconte des personnages, et les fait parler. Certaines d’entre elles sont devenues ou restées des stars planétaires, d’autres sont aujourd’hui des souvenirs, mais toutes partagent cette séduction indicible, et ce courage d’être allées se frotter à un public, avec leurs chansons comme seule arme, dans un déluge sonore.
À l’inverse des stars de cinéma, intouchables et glamour, les filles électriques sont sexy et réelles. Jean-Eric Perrin a pu les approcher au plus près, et elles ne se sont pas privées de lui raconter ce qu’elles avaient sur le coeur.

J'ai relu L'Etranger de Camus le 12...

en faisant la queue pour un concert des cure??

Is it really so strange...?!

Quand je vous dis que le grunge est de retour...

http://www.slate.fr/story/6525/la-longue-tra%C3%AEne-du-grunge?page=0,0

En début d'année est sortie 'Musicophilia - La musique, le cerveau et nous' d'Oliver Sacks :
"La musique peut nous émouvoir jusqu’au tréfonds de notre être, nous arracher à la dépression, nous inciter à danser, ou nous rendre triste et nostalgique. Quand on est un neurologue aussi compétent qu’Oliver Sacks, et ouvert, comme lui, à bien d’autres disciplines, comment peut-on comprendre et décrire ce pouvoir ? Plus d’aires cérébrales sont affectées au traitement de la musique qu’à celui du langage : l’homme est donc véritablement une espèce musicale. Bien des exemples le montrent, évoqués par Sacks avec la force et le talent qu’on lui connaît (voir L’Homme qui prenait sa femme pour un chapeau), depuis ce chirurgien frappé par un éclair qui devient soudain pianiste à l’âge de quarante-deux ans jusqu’au frère manchot de Wittgenstein, en passant par les familiers de la synesthésie ou les arriérés mentaux mélomanes. La musique est souvent médicalement bienfaisante : elle anime les parkinsoniens incapables de se mouvoir, améliore l’élocution des victimes d’accidents vasculaires, apaise les patients atteints de la maladie d’Alzheimer ou restitue des souvenirs à certains amnésiques. L’homme a donc une véritable dimension musicale. Oliver Sacks la décrit dans toute son étendue, d’un point de vue scientifique, philosophique, et spirituel."
Oliver Sacks, neurologue, professeur à l'Albert Einstein College of Medicine et à l'université de New York (N.Y.U.), est notamment l'auteur de L'Éveil (1987), L'Homme qui prenait sa femme pour un chapeau (1988) et Un anthropologue sur Mars (1996).
Est-ce que cela a été lu par certains d'entre-vous ?

Pas par moi. Mais cela fait longtemps que je me dis qu'il faudrait que je lise un bouquin de Sacks. Notamment L'homme qui prenait sa femme pour un chapeau.

Ce n'est pas pratique...

Sinon : The North Will Rise Again, Manchester Music City 1976-1996, John Robb. Ca me fera toujours rire de savoir que Morrissey avait postulé au poste de chanteur des Clash

Quoi?!

Mick Jones avait passé une annonce dans le Melody Maker en 1975 pour trouver un chanteur aimant, les NY Dolls, Mott & The Hoople, The Stooges... Et Morrissey y avait répondu, un peu trop tard, la place était déjà prise. Sinon, le monde aurait été différent...

Thank God....

Un bon sujet pour un roman de science fiction musicale !

El Wray a écrit:

Ce n'est pas pratique...

Sinon : The North Will Rise Again, Manchester Music City 1976-1996, John Robb. Ca me fera toujours rire de savoir que Morrissey avait postulé au poste de chanteur des Clash

El Wray a écrit:

Un bon sujet pour un roman de science fiction musicale !

ah oui, bon idée! "If Moz had called the Clash", nous demandons le copyright

Trois hommes, deux chiens, une langouste - Iain Levinson

Trois branquignols vivant dans une cité minière en crise entre petits boulots et chômage se mettent à voler : une télé puis une ferrari puis une banque.
C'est assez drôle.